Il existe de nombreuses contentions différentes :
• Les contentions souples.
• Les contentions rigides.
Chaque contention doit être choisie en fonction de l’objectif de traitement souhaité.
Il ne s’agit pas de reproduire simplement une contention mais d’en comprendre le principe afin d’adapter celle-ci tant à la pathologie qu’à la morphologie du sujet.
Ainsi cela dépend du mécanisme lésionnel, de l’intensité de la pathologie et de la phase de guérison.
Nous aborderons dans cette thémathique, différents cas cliniques et différentes pathologies comme :
• Les cervicalgies.
• Les douleurs lombaires.
• Les problématiques de la coiffe des rotateurs.
• Les tendinites du coude ou tennis elbow.
• La tendinite de la colonne du pouce ou tendinite de DE QUERVAIN.
• La tendinite patellaire.
• L’entorse de genou.
• La périostite tibiale.
• La tendinite d’achille.
• L’entorse de cheville.
Près de 1 500 000 contentions par an estimées en 2010 d’après les rapports de l’HAS (haute autorité de la santé) en raison notamment du nombre important d’entorse de la talo-crural non grave. 300 000 sont ainsi immobilisées avec des séquelles douloureuses sans laxité.